Le blog visuel de Marie-Andrée Côté
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mardi 29 juin 2021

CAROLINE MONNET - Ninga Minèh

 







 






"Le MBAM est fier de présenter la première exposition personnelle de Caroline Monnet dans un musée canadien. L’artiste multidisciplinaire d’origines anishinaabe et française explore dans son travail la question identitaire et, plus particulièrement, ses propres racines autochtones maternelles.

Les œuvres, dont certaines inédites, de Ninga Mìnèh évoquent de façon métaphorique, mais matérielle, l’inégalité des conditions de vie des communautés autochtones au Canada. En général, les habitations des réserves ont été construites à la hâte, avec des matériaux peu coûteux : de l’extérieur, elles semblent souvent bâclées et inachevées. Des familles y vivent entassées, sans confort minimal. L’exposition Ninga Mìnèh (« la promesse », en anishinaabemowin) exhorte les autorités à offrir enfin aux Premières Nations des conditions de vie décentes, dignes et agréable."

Source: Musée des Beaux-Arts Montréal,  Caroline Monnet





mardi 16 février 2021

ELSA SAHAL

 








"Souvent avec ironie et effronterie, Elsa Sahal questionne les principes de la sculpture mais aussi les thèmes modernes de l’art dont elle tire de multiples références. Elle interroge les modalités de représentation du corps féminin ainsi
que les clichés véhiculés par le genre. Ses figures jouent de l’ambiguïté, mêlant souvent attributs féminins et formes phalliques."

jeudi 4 février 2021

RACHAEL LOUISE BAILEY





"Global  est une sculpture qui s’apparente à une balle flottante de deux mètres de diamètre composée de matières polluantes ramassées dans la mer. Rachael Louise Bailey collectionne ainsi ces objets issus de la pollution marine depuis 2016. Elle collecte en particulier les chambres à air de voitures qui ont été recyclées et reconditionnées avant d’être utilisées dans la culture industrielle de l’huître. Ce plastique est régurgité par la mer. Rachael Louise Bailey donne une nouvelle importance à ces objets fragmentés et les regroupe  sous la forme des Black Stuff – les choses noires. Global fait partie de cette série aux sensibilités écologiques. L’artiste a noué ici plus de 3,5 kilomètres de chambre à air qu’elle enroule sur elles-mêmes pour former cette grosse boule de pollution qui ne cesse de grandir et dont nous semblons devenir prisonniers. Telle une machine infernale qu’il est impossible de stopper." Fondation François Schneider

 

samedi 16 janvier 2021

CHAKAIA BOOKER











Sa sculpture intitulée Renegade est présentée dans le cadre de l’exposition Sculptures en Charlevoix du Domaine Forget.



Chakaia Booker recycle des pneus usagés en des assemblages complexes reflétant tant ses préoccupations écologiques que ses explorations des différences raciales et économiques, de la mondialisation et des genres. Elle est détentrice d’un baccalauréat en sociologie de la Rutgers University (1976) et d’une maîtrise en beaux-arts du City College de New York (1993). Ses sculptures ont été exposées au Storm King Art Center, au Metropolitan Museum of Art (MoMa) à New York et au Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofia à Madrid, entre autres. Booker a reçu la bourse Pollock-Krasner en 2002 et la bourse Guggenheim en 2005.

Source:Domaine Forget, Artsy.net, Newcomb

vendredi 8 janvier 2021

LEDELLE MOE











Ledelle Moe (1971, Durban, Afrique du Sud) est diplômée de Natal Technikon en 1993. Elle a été l’un des membres fondateurs de la FLAT Gallery, un espace alternatif à Durban. Une bourse de voyage en 1994 l’a amenée aux États-Unis où elle a fréquenté la Virginia Commonwealth University. Elle a obtenu sa maîtrise en 1996 avant de devenir professeure adjointe au département de sculpture du Maryland Institute College of Art (MICA) à Baltimore. Elle a également enseigné à la Corcoran School of Art de Washington, DC, à la Virginia Commonwealth University et au St. Mary’s College du Maryland.Moe a exposé dans un certain nombre de lieux internationaux, y compris le Pérez Art Museum Miami; Semaphore Gallery, Neuchâtel, Suisse;Smithsonian Institution National Museum of African Art, Washington, D.C.; Smack

 La sculptrice sud-africaine Ledelle Moe a une façon assez différente de traiter son chagrin. Elle sculpte d’énormes têtes creuses. Elle crée des figures colossales qui semblent avoir basculé sur la place publique après une période de tumulte.Elle fait des figures allongées géantes au repos, les bras raides sur les côtés, rappelant d’anciens sarcophages ou les corps liés qui vont à l’intérieur d’eux. La taille et l’échelle de son travail est monumentale, la qualité altérée suggère un temps et un lieu lointain.  Malgré tout, dit Moe, ses œuvres sont « vraiment une façon profondément personnelle de composer avec le poids des choses ».





mercredi 23 décembre 2020

SUI PARK





 





Née à Séoul, en Corée, l’artiste Sui Park basée à New York est aussi une architecte d’intérieur. Son travail consiste à créer des formes organiques flexibles en trois dimensions d’une atmosphère douillette qui sont à la fois dynamiques et voire mystiques ou illusoires.

Source: ArtisTIE , Sui Park

dimanche 6 décembre 2020

KEVIN FRANCIS GRAY









Connu pour sa maîtrise du marbre et du bronze, le sculpteur d'origine irlandaise Kevin Francis Gray dévoile, jusqu'au 13 février 2021 à la Pace Gallery, une série d'œuvres inédites et hybrides, mêlant diverses formes et matériaux comme pour exprimer la fragilité d'un monde composite.



vendredi 4 décembre 2020

GENTA ISHIZUKA






 

Genta Ishizuka, exposé au Minneapolis Museum of Arts ou encore au Victoria & Albert Museum, a présenté Surface Tactility #11, une sculpture protéiforme sensuelle aux nuances rouge bordeaux tout en courbure. Si son aspect s’inspire initialement des ondulations d'un sac d’oranges, elle emprunte son aspect brillant à la pratique traditionnelle de la laque japonaise : “L’oeuvre d’Ishizuka prouve que l’artisanat peut être ouvert, et qu’il révèle une liberté de la création. Son usage de la technique ancienne de la laque dans une forme contemporaine brise les conventions et présente une nouvelle vision sculpturale de l’artisanat” explique Jonathan Anderson.

Source: Zoltanplus Numéro