Le blog visuel de Marie-Andrée Côté

dimanche 24 janvier 2021

CLAIRE CURNEEN









Claire Curneen a choisi la porcelaine brute pour façonner des personnages de grande taille qu’elle crée à partir de fragments minutieusement pétris et assemblés, laissant apparaître d’invisibles cicatrices en surface.


Source: ClaireCurneen, FermedelaLachapelle,

samedi 16 janvier 2021

CHAKAIA BOOKER











Sa sculpture intitulée Renegade est présentée dans le cadre de l’exposition Sculptures en Charlevoix du Domaine Forget.



Chakaia Booker recycle des pneus usagés en des assemblages complexes reflétant tant ses préoccupations écologiques que ses explorations des différences raciales et économiques, de la mondialisation et des genres. Elle est détentrice d’un baccalauréat en sociologie de la Rutgers University (1976) et d’une maîtrise en beaux-arts du City College de New York (1993). Ses sculptures ont été exposées au Storm King Art Center, au Metropolitan Museum of Art (MoMa) à New York et au Museo Nacional Centro de Arte Reina Sofia à Madrid, entre autres. Booker a reçu la bourse Pollock-Krasner en 2002 et la bourse Guggenheim en 2005.

Source:Domaine Forget, Artsy.net, Newcomb

vendredi 8 janvier 2021

LEDELLE MOE











Ledelle Moe (1971, Durban, Afrique du Sud) est diplômée de Natal Technikon en 1993. Elle a été l’un des membres fondateurs de la FLAT Gallery, un espace alternatif à Durban. Une bourse de voyage en 1994 l’a amenée aux États-Unis où elle a fréquenté la Virginia Commonwealth University. Elle a obtenu sa maîtrise en 1996 avant de devenir professeure adjointe au département de sculpture du Maryland Institute College of Art (MICA) à Baltimore. Elle a également enseigné à la Corcoran School of Art de Washington, DC, à la Virginia Commonwealth University et au St. Mary’s College du Maryland.Moe a exposé dans un certain nombre de lieux internationaux, y compris le Pérez Art Museum Miami; Semaphore Gallery, Neuchâtel, Suisse;Smithsonian Institution National Museum of African Art, Washington, D.C.; Smack

 La sculptrice sud-africaine Ledelle Moe a une façon assez différente de traiter son chagrin. Elle sculpte d’énormes têtes creuses. Elle crée des figures colossales qui semblent avoir basculé sur la place publique après une période de tumulte.Elle fait des figures allongées géantes au repos, les bras raides sur les côtés, rappelant d’anciens sarcophages ou les corps liés qui vont à l’intérieur d’eux. La taille et l’échelle de son travail est monumentale, la qualité altérée suggère un temps et un lieu lointain.  Malgré tout, dit Moe, ses œuvres sont « vraiment une façon profondément personnelle de composer avec le poids des choses ».